Eglise La Bonne Nouvelle - Dijon

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Une Bonne Nouvelle pour Dijon

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Nous sommes très heureux que vous nous permettiez de vous faire connaitre notre Seigneur et Sauveur Jésus le Christ. Vous êtes le bienvenue à nos réunions sur Dijon . Plus d'informations sur notre site internet : www.la-bonne-nouvelle.org


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Les peines éternelles - L'Enfer - Luc 16.19-31

Mat 2.7-11
Attention : la hache est déjà sur le point d’attaquer les arbres à la racine. Tout arbre qui ne produit pas de bon fruit sera coupé et jeté au feu.

  • Moi, je vous baptise dans l’eau, en signe de votre changement de vie. Mais quelqu’un vient après moi : il est bien plus puissant que moi et je ne suis même pas digne de lui enlever les sandales. C’est lui qui vous baptisera dans le Saint-Esprit et le feu. Il tient en main sa pelle à vanner il va nettoyer son aire de battage et amasser le blé dans son grenier. Quant à la bale, il la brûlera dans un feu qui ne s’éteindra jamais.

d’Esaïe 50.10-51.6
Quiconque parmi vous craint l’Eternel, Qu’il écoute la voix de son serviteur ! Quiconque marche dans l’obscurité et manque de lumière, Qu’il se confie dans le nom de l’Eternel, Et qu’il s’appuie sur son Dieu !
Voici, vous tous qui allumez un feu, Et qui êtes armés de torches, Allez au milieu de votre feu et de vos torches enflammées ! C’est par ma main que ces choses vous arriveront ; Vous vous coucherez dans la douleur. Ecoutez-moi, vous qui poursuivez la justice, Qui cherchez l’Eternel ! Portez les regards sur le rocher d’où vous avez été taillés, Sur le creux de la fosse d’où vous avez été tirés.
Portez les regards sur Abraham votre père, Et sur Sara qui vous a enfantés ; Car lui seul je l’ai appelé, Je l’ai béni et multiplié.
Ainsi l’Eternel a pitié de Sion, Il a pitié de toutes ses ruines ; Il rendra son désert semblable à un Eden, Et sa terre aride à un jardin de l’Eternel. La joie et l’allégresse se trouveront au milieu d’elle, Les actions de grâces et le chant des cantiques.
Mon peuple, sois attentif ! Ma nation, prête-moi l’oreille ! Car la loi sortira de moi, Et j’établirai ma loi pour être la lumière des peuples. Ma justice est proche, mon salut va paraître, Et mes bras jugeront les peuples ; Les îles espéreront en moi, Elles se confieront en mon bras.
Levez les yeux vers le ciel, et regardez-en bas sur la terre ! Car les cieux s’évanouiront comme une fumée, La terre tombera en lambeaux comme un vêtement, Et ses habitants périront comme des mouches ; Mais mon salut durera éternellement, Et ma justice n’aura point de fin.

Luc 16.19-31 LSG
Il y avait un homme riche, qui était vêtu de pourpre et de fin lin, et qui chaque jour menait joyeuse et brillante vie. Un pauvre, nommé Lazare, était couché à sa porte, couvert d’ulcères, et désireux de se rassasier des miettes qui tombaient de la table du riche ; et même les chiens venaient encore lécher ses ulcères. Le pauvre mourut, et il fut porté par les anges dans le sein d’Abraham. Le riche mourut aussi, et il fut enseveli. Dans le séjour des morts, il leva les yeux ; et, tandis qu’il était en proie aux tourments, il vit de loin Abraham, et Lazare dans son sein.
Il s’écria : Père Abraham, aie pitié de moi, et envoie Lazare, pour qu’il trempe le bout de son doigt dans l’eau et me rafraîchisse la langue ; car je souffre cruellement dans cette flamme.
Abraham répondit : Mon enfant, souviens-toi que tu as reçu tes biens pendant ta vie, et que Lazare a eu les maux pendant la sienne ; maintenant il est ici consolé, et toi, tu souffres. D’ailleurs, il y a entre nous et vous un grand abîme, afin que ceux qui voudraient passer d’ici vers vous, ou de là vers nous, ne puissent le faire.
Le riche dit : Je te prie donc, père Abraham, d’envoyer Lazare dans la maison de mon père ; car j’ai cinq frères. C’est pour qu’il leur atteste ces choses, afin qu’ils ne viennent pas aussi dans ce lieu de tourments.
Abraham répondit : Ils ont Moïse et les prophètes ; qu’ils les écoutent.
Et il dit : Non, père Abraham, mais si quelqu’un des morts va vers eux, ils se repentiront. Et Abraham lui dit : S’ils n’écoutent pas Moïse et les prophètes, ils ne se laisseront pas persuader quand même quelqu’un des morts ressusciterait.

Ac16.25-34
Vers le milieu de la nuit, Paul et Silas priaient et chantaient les louanges de Dieu. Les autres prisonniers les écoutaient. Tout à coup, un violent tremblement de terre secoua la prison jusque dans ses fondations. Toutes les portes s’ouvrirent à l’instant même et les chaînes de tous les prisonniers se détachèrent. Le gardien se réveilla en sursaut et vit les portes de la prison grand ouvertes : alors il tira son épée et allait se tuer, car il croyait que ses prisonniers s’étaient enfuis. Mais Paul lui cria de toutes ses forces : - Arrête ! Ne te fais pas de mal, nous sommes tous là. Le gardien demanda des torches, se précipita dans le cachot et, tremblant de peur, se jeta aux pieds de Paul et de Silas. Puis il les fit sortir et leur demanda : - Messieurs, que dois-je faire pour être sauvé ? - Crois au Seigneur Jésus, lui répondirent-ils, et tu seras sauvé, toi et les tiens. Et ils lui annoncèrent la Parole de Dieu, à lui et à tous ceux qui vivaient dans sa maison. A l’heure même, en pleine nuit, le gardien les prit avec lui et lava leurs blessures. Il fut baptisé aussitôt après, lui et tous les siens. Puis il fit monter Paul et Silas dans sa maison, leur offrit un repas, et se réjouit, avec toute sa famille, d’avoir cru en Dieu.

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Répondre à l’appel de Jésus (Luc 5. 27-32)

Après cela, il sortit et aperçut un collecteur des taxes, nommé Lévi, assis au bureau des taxes.
Il lui dit : Suis-moi.
Celui-ci laissa tout, se leva et se mit à le suivre.
Lévi donna pour lui un grand banquet chez lui ; il y avait une grande foule de collecteurs des taxes et d'autres personnes à table avec eux.
Les pharisiens et leurs scribes maugréaient ; ils disaient à ses disciples :
Pourquoi mangez-vous et buvez-vous avec les collecteurs des taxes et les pécheurs ?
Jésus leur répondit : Ce ne sont pas ceux qui sont en bonne santé qui ont besoin de médecin, mais les malades.
Ce ne sont pas des justes, mais des pécheurs, que je suis venu appeler à un changement radical.

(Luc 5. 27-32)

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Car Dieu t'aime (Daniel 9.3-23a)

Daniel 9.
Alors je me tournai vers le Seigneur Dieu pour le prier et lui adresser des supplications, en jeûnant et en portant un habit de toile de sac et en me couvrant de cendre.
J’adressai ma requête à l’Eternel mon Dieu et je lui fis une confession en ces termes : - Ah ! Seigneur, Dieu grand et redoutable, toi qui demeures fidèle à ton alliance et qui conserves ton amour envers ceux qui t’aiment et qui obéissent à tes commandements, nous avons mal agi, nous nous sommes rendus coupables et nous nous sommes révoltés contre toi en nous détournant de tes commandements et de tes lois.
Nous n’avons pas écouté tes serviteurs les prophètes, qui ont parlé en ton nom à nos rois, à nos chefs, à nos ancêtres et à tout le peuple du pays.
Toi, Seigneur, tu es juste, et nous, nous rougissons de honte. C’est bien le cas aujourd’hui des Judéens, des habitants de Jérusalem et de tout Israël, de ceux qui sont près et de ceux qui sont loin, dispersés dans tous les pays où tu les as chassés à cause de leurs infidélités à ton égard.
Seigneur, la honte couvre notre visage, celui de nos rois, de nos chefs et de nos ancêtres, parce que nous avons péché contre toi.
Mais toi, Seigneur notre Dieu, tu as de la pitié et tu pardonnes, alors que nous nous sommes révoltés contre toi.
Nous ne t’avons pas obéi, Eternel notre Dieu, nous n’avons pas vécu selon les lois que tu nous as données par tes serviteurs les prophètes.
Tout le peuple d’Israël a transgressé ta Loi et s’est détourné pour ne pas entendre ta voix. Alors la malédiction et toutes les imprécations inscrites dans la Loi de Moïse, ton serviteur, se sont déversées sur nous, parce que nous avons péché contre Dieu.
Tu as accompli les menaces que tu avais prononcées contre nous et contre les chefs qui nous gouvernaient : tu as fait fondre sur nous un malheur si grand que, dans ce monde, il n’y en a jamais eu de pareil à celui qui a frappé Jérusalem.
Tout ce malheur nous a frappés conformément à ce qui était écrit dans la Loi de Moïse, et nous ne t’avons pas imploré, Eternel notre Dieu, nous ne nous sommes pas détournés de nos fautes et nous n’avons pas été attentifs à ta vérité.
C’est pourquoi, Eternel notre Dieu, tu as veillé à ce que ce malheur fonde sur nous car tu es juste dans tout ce que tu fais, tandis que nous, nous ne t’avons pas obéi.
Et maintenant, Seigneur notre Dieu, tu as fait sortir ton peuple d’Egypte par ton intervention puissante, et tu t’es fait un nom qui subsiste jusqu’à ce jour. Mais nous, nous avons péché, nous avons fait le mal.
Seigneur, toi qui fais justice aux opprimés, veuille détourner ta colère et ton indignation de Jérusalem, ta ville, ta sainte montagne, car à cause de nos péchés et des fautes de nos ancêtres, Jérusalem et ton peuple sont en butte au mépris de tous ceux qui nous entourent.
Maintenant, ô notre Dieu, écoute la prière et les supplications de ton serviteur et, par égard pour toi-même, considère avec faveur ton sanctuaire dévasté !
O mon Dieu, prête l’oreille et écoute, ouvre tes yeux et considère nos ruines, regarde la ville qui t’appartient. Certes, ce n’est pas à cause de nos actions justes que nous te prions et t’adressons nos supplications, mais à cause de ton immense compassion !
Seigneur, écoute-nous ! Seigneur, pardonne ! Seigneur, prête-nous attention et interviens sans tarder, par égard pour toi-même, ô mon Dieu ! Car il s’agit de la ville et du peuple qui t’appartiennent.
Je continuais à parler dans ma prière, en confessant mes péchés et les péchés de mon peuple Israël, et en suppliant l’Eternel mon Dieu en faveur de sa sainte montagne.
J’étais encore en train de prononcer ma prière, quand Gabriel, ce personnage mystérieux que j’avais vu dans une vision précédente, s’approcha de moi d’un vol rapide au moment de l’offrande du soir.
Il s’entretint avec moi et me donna des explications en me disant : - Daniel, je suis venu maintenant pour t’éclairer.
Dès que tu as commencé à prier, un message a été émis, et je suis venu pour te le communiquer, car tu es bien-aimé de Dieu.

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L'assurance et le combat de la Foi (1 Jn 3.11-24)

11 En effet, voici le message que vous avez entendu dès le commencement : aimons-nous les uns les autres.
12 Que personne ne suive donc l’exemple de Caïn, qui appartenait au diable et qui a égorgé son frère. Et pourquoi l’a-t-il égorgé ? Parce que sa façon d’agir était mauvaise, alors que celle de son frère était juste.
13 Mes frères, ne vous étonnez donc pas si le monde a de la haine pour vous.
14 Quant à nous, nous savons que nous sommes passés de la mort à la vie parce que nous aimons nos frères. Celui qui n’aime pas demeure dans la mort.
15 Car si quelqu’un déteste son frère, c’est un meurtrier, et vous savez qu’aucun meurtrier ne possède en lui la vie éternelle.
16 Voici comment nous savons ce que c’est que d’aimer : Jésus-Christ a donné sa vie pour nous. Nous devons, nous aussi, donner notre vie pour nos frères.
17 Si un homme riche voit son frère dans le besoin et lui ferme son cœur, l’amour de Dieu ne peut être présent en lui.
18 Mes enfants, que notre amour ne se limite pas à des discours et à de belles paroles, mais qu’il se traduise par des actes accomplis dans la vérité.
19 C’est ainsi que nous saurons que nous appartenons à la vérité, et nous rassurerons notre cœur devant Dieu,
20 si notre cœur nous condamne d’une manière ou d’une autre ; car Dieu est plus grand que notre cœur et il connaît tout.
21 Mes chers amis, si notre cœur ne nous condamne pas, nous sommes pleins d’assurance devant Dieu.
22 Il nous donne tout ce que nous lui demandons, parce que nous obéissons à ses commandements et que nous faisons ce qui lui plaît.
23 Or, que nous commande-t-il ? De placer notre confiance en son Fils Jésus-Christ et de nous aimer les uns les autres, comme il nous l’a lui-même prescrit.
24 Celui qui obéit à ses commandements demeure en Dieu et Dieu demeure en lui. Et à quoi reconnaissons-nous qu’il demeure en nous ? A l’Esprit qu’il nous a donné.
1 Jean 3.11-24

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Ananias et Saphira : Non à l’hypocrisie et au mensonge (Actes 5. 1-11)

1 Cependant, un homme appelé Ananias, avec Saphira sa femme, vendit une propriété 2 et garda une partie du prix, en accord avec sa femme. Il apporta le reste et le déposa aux pieds des apôtres. 3 Pierre lui dit: «Ananias, pourquoi Satan a-t-il rempli ton coeur, au point que tu aies menti au Saint-Esprit et gardé une partie du prix du champ? 4 S'il n'avait pas été vendu, ne te restait-il pas? Et, après l'avoir vendu, n'avais-tu pas le droit de disposer du prix? Comment as-tu pu former dans ton coeur un projet pareil? Ce n'est pas à des hommes que tu as menti, mais à Dieu.» 5 Quand Ananias entendit ces paroles, il tomba et expira. Une grande crainte s'empara de tous ceux qui l'apprirent. 6 Les jeunes gens se levèrent pour envelopper le corps, puis ils l'emportèrent pour l'enterrer. 7 Environ trois heures plus tard, sa femme entra sans savoir ce qui était arrivé. 8 Pierre lui adressa la parole: «Dis-moi, est-ce bien à ce prix que vous avez vendu le champ?» «Oui, répondit-elle, c'est à ce prix-là.» 9 Alors Pierre lui dit: «Comment avez-vous pu vous mettre d'accord pour provoquer l'Esprit du Seigneur? Ceux qui ont enterré ton mari sont à la porte et ils vont t'emporter, toi aussi.» 10 Elle tomba immédiatement aux pieds de l'apôtre et expira. Quand les jeunes gens rentrèrent, ils la trouvèrent morte et l'emportèrent pour l'enterrer à côté de son mari. 11 Une grande crainte s'empara de toute l'Eglise et de tous ceux qui apprirent ces événements. (actes 5.1-11)