Philippiens 1. 18-26

Qu'importe ! De toute manière, prétexte ou vérité, le Christ est annoncé, et je m'en réjouis.
Je m'en réjouirai encore, car je sais que cela tournera à mon salut, grâce à vos prières et à l'assistance de l'Esprit de Jésus-Christ ; 
selon ce que j'attends avec impatience, ce que j'espère, je n'aurai honte de rien.
Avec une entière assurance, maintenant comme toujours, le Christ sera magnifié dans mon corps, soit par ma vie, soit par ma mort. 
Car, pour moi, la vie, c'est le Christ, et la mort est un gain. 
Toutefois, s'il est utile pour mon œuvre que je continue à vivre dans la chair, je ne sais que préférer. 
Je suis enfermé dans ce dilemme : j'ai le désir de m'en aller et d'être avec le
Christ, ce qui serait, de beaucoup, le meilleur ; 
mais, à cause de vous, il est plus nécessaire que je demeure dans la chair. 
J'en suis persuadé, je le sais, je demeurerai auprès de vous tous encore et
encore, en vue de vos progrès et de votre joie dans la foi, 
pour que vous soyez toujours plus fiers de Jésus-Christ en moi, grâce à mon
retour auprès de vous.