Eglise La Bonne Nouvelle - Dijon

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Une Bonne Nouvelle pour Dijon

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Nous sommes très heureux que vous nous permettiez de vous faire connaitre notre Seigneur et Sauveur Jésus le Christ. Vous êtes le bienvenue à nos réunions sur Dijon . Plus d'informations sur notre site internet : www.la-bonne-nouvelle.org


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La rencontre de Jésus avec une femme de Samarie. Jean 4:1-24

Les pharisiens avaient entendu dire que Jésus faisait et baptisait plus de disciples que Jean. (A vrai dire, Jésus lui-même ne baptisait personne, il laissait ce soin à ses disciples.) Lorsque Jésus l’apprit, il quitta la Judée et retourna en Galilée. Il lui fallait donc traverser la Samarie. C’est ainsi qu’il arriva près d’une bourgade de Samarie nommée Sychar, non loin du champ que Jacob avait jadis donné à son fils Joseph. C’est là que se trouvait le puits de Jacob. Jésus, fatigué du voyage, s’assit au bord du puits. Il était environ midi. Une femme samaritaine vint pour puiser de l’eau. Jésus s’adressa à elle : S’il te plaît, donne-moi à boire un peu d’eau. (Ses disciples étaient allés à la ville pour acheter de quoi manger.) La Samaritaine s’exclama : Comment ? Tu es Juif et tu me demandes à boire, à moi qui suis Samaritaine ? (Les Juifs, en effet, évitaient toutes relations avec les Samaritains .) Jésus lui répondit : Si tu savais quel don Dieu veut te faire et qui est celui qui te demande à boire, c’est toi qui lui aurais demandé à boire et il t’aurait donné de l’eau vive . – Mais, Maître, répondit la femme, non seulement tu n’as pas de seau, mais le puits est profond ! D’où la tires-tu donc, cette eau vive ? Tu ne vas pas te prétendre plus grand que notre ancêtre Jacob, auquel nous devons ce puits, et qui a bu lui-même de son eau ainsi que ses enfants et ses troupeaux ? – Celui qui boit de cette eau, reprit Jésus, aura de nouveau soif. Mais celui qui boira de l’eau que je lui donnerai n’aura plus jamais soif. Bien plus : l’eau que je lui donnerai deviendra en lui une source intarissable qui jaillira jusque dans la vie éternelle. – Maître, lui dit alors la femme, donne-moi de cette eau-là, pour que je n’aie plus soif et que je n’aie plus besoin de revenir puiser de l’eau ici. – Va donc chercher ton mari, lui dit Jésus, et reviens ici. – Je ne suis pas mariée, lui répondit-elle. – Tu as raison de dire : Je ne suis pas mariée. En fait tu l’as été cinq fois, et l’homme avec lequel tu vis actuellement n’est pas ton mari. Ce que tu as dit là est vrai . – Maître, répondit la femme, je le vois, tu es un prophète. Dis-moi : qui a raison ? Nos ancêtres ont adoré Dieu sur cette montagne-ci . Vous autres, vous affirmez que l’endroit où l’on doit adorer, c’est Jérusalem. – Crois-moi, lui dit Jésus, l’heure vient où il ne sera plus question de cette montagne ni de Jérusalem pour adorer le Père. Vous adorez ce que vous ne connaissez pas ; nous, nous adorons ce que nous connaissons, car le salut vient du peuple juif. Mais l’heure vient, et elle est déjà là, où les vrais adorateurs adoreront le Père par l’Esprit et en vérité ; car le Père recherche des hommes qui l’adorent ainsi. Dieu est Esprit et il faut que ceux qui l’adorent l’adorent par l’Esprit et en vérité. '

Jean 4:1-24

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Jonas 1 - Dieu est là dans nos faiblesses

L’Eternel adressa la parole à Jonas , fils d’Amittaï, en ces termes : Mets-toi en route, va à Ninive la grande ville et proclame des menaces contre ses habitants, car l’écho de leur méchanceté est parvenu jusqu’à moi. Jonas se mit en route pour s’enfuir à Tarsis , loin de la présence de l’Eternel. Il descendit au port de Jaffa , où il trouva un navire en partance pour Tarsis. Il paya le prix de la traversée et descendit dans le bateau pour aller avec l’équipage à Tarsis, loin de la présence de l’Eternel. Mais l’Eternel fit souffler un grand vent sur la mer et déchaîna une si grande tempête que le navire menaçait de se briser. Les marins furent saisis de crainte, et chacun se mit à implorer son dieu. Puis ils jetèrent la cargaison par-dessus bord pour alléger le navire. Quant à Jonas, il était descendu dans la cale du bateau, il s’était couché et dormait profondément. Le capitaine s’approcha de lui et l’interpella : Hé quoi ! Tu dors ! Mets-toi debout et prie ton Dieu. Peut-être Dieu se souciera-t-il de nous et nous ne périrons pas. Pendant ce temps, les matelots se dirent entre eux : Allons, tirons au sort pour savoir qui nous attire ce malheur. Ils tirèrent donc au sort et Jonas fut désigné. Alors ils lui demandèrent : Fais-nous savoir qui nous attire ce malheur ! Quelles sont tes occupations ? D’où viens-tu ? De quel pays ? Et de quel peuple es-tu ? Jonas leur répondit : Je suis hébreu et je crains l’Eternel, le Dieu du ciel qui a fait la mer et la terre. Il leur apprit qu’il s’enfuyait loin de la présence de l’Eternel. Aussi ces hommes furent-ils saisis d’une grande crainte et lui dirent : Pourquoi as-tu fait cela ? Comme la mer se démontait de plus en plus, ils lui demandèrent : Que te ferons-nous pour que la mer se calme et cesse de nous être contraire ? Il leur répondit : Prenez-moi et jetez-moi à la mer, et la mer se calmera, car je sais bien que c’est à cause de moi que cette grande tempête s’est déchaînée contre vous. Ces hommes se mirent d’abord à ramer de toutes leurs forces pour regagner la côte, mais ils n’y parvinrent pas, car la mer se déchaînait toujours plus contre eux. Alors ils crièrent à l’Eternel et dirent : O Eternel, nous t’en prions, ne nous fais pas périr à cause de cet homme et ne nous tiens pas responsables de la mort d’un innocent. Car toi, ô Eternel, tu as fait ce que tu as voulu. Puis ils prirent Jonas et le jetèrent par-dessus bord. Aussitôt, la mer en furie se calma. Alors l’équipage fut saisi d’une grande crainte envers l’Eternel ; ils lui offrirent un sacrifice et s’engagèrent envers lui par des vœux.

Jonas 1:1-16

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Ne vous inquiétez de rien ! Matthieu 6.25-34

C’est pourquoi je vous dis : ne vous inquiétez pas en vous demandant : « Qu’allons-nous manger ou boire ? Avec quoi allons-nous nous habiller ? » La vie ne vaut-elle pas bien plus que la nourriture ? Et le corps ne vaut-il pas bien plus que les vêtements ? Voyez ces oiseaux qui volent dans le ciel, ils ne sèment ni ne moissonnent, ils n’amassent pas de provisions dans des greniers, et votre Père céleste les nourrit. N’avez-vous pas bien plus de valeur qu’eux ? D’ailleurs, qui de vous peut, à force d’inquiétude, prolonger son existence, ne serait-ce que de quelques instants ? Quant aux vêtements, pourquoi vous inquiéter à leur sujet ? Observez les lis sauvages ! Ils poussent sans se fatiguer à tisser des vêtements. Pourtant, je vous l’assure, le roi Salomon lui-même, dans toute sa gloire, n’a jamais été aussi bien vêtu que l’un d’eux ! Si Dieu habille ainsi cette petite plante des champs qui est là aujourd’hui et qui demain sera jetée au feu, à plus forte raison ne vous vêtira-t-il pas vous-mêmes ? Ah, votre foi est bien petite ! Ne vous inquiétez donc pas et ne dites pas : « Que mangerons-nous ? » ou « Que boirons-nous ? » ou « Avec quoi nous habillerons-nous ? » Toutes ces choses, les païens s’en préoccupent sans cesse. Mais votre Père, qui est aux cieux, sait que vous en avez besoin. Faites donc du royaume de Dieu et de ce qui est juste à ses yeux votre préoccupation première, et toutes ces choses vous seront données en plus. Ne vous inquiétez pas pour le lendemain ; le lendemain se souciera de lui-même. A chaque jour suffit sa peine.

Matthieu 6:25-34

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La résurrection... Trop beau pour être vrai ? Luc 24. 36-49

Pendant qu’ils s’entretenaient ainsi, Jésus se trouva au milieu d’eux et leur dit : Que la paix soit avec vous ! Mais ils furent saisis de crainte et d’effroi, croyant voir un esprit. – Pourquoi êtes-vous troublés ? leur dit-il. Pourquoi les doutes envahissent-ils votre cœur ? Regardez mes mains et mes pieds, et reconnaissez que c’est bien moi. Touchez-moi et regardez ! Car un esprit n’a ni chair ni os. Or, vous voyez bien que j’en ai. Tout en disant cela, il leur montra ses mains et ses pieds . Mais ils étaient si heureux qu’ils ne parvenaient pas à croire et restaient dans l’étonnement. Alors il leur demanda : Avez-vous quelque chose à manger ? Ils lui présentèrent un morceau de poisson grillé. Il le prit et le mangea sous leurs yeux. Puis il leur dit : Voici ce que je vous ai dit quand j’étais encore avec vous : « Il faut que s’accomplisse tout ce qui est écrit de moi dans la Loi de Moïse, dans les prophètes, et dans les Psaumes. » Là-dessus, il leur ouvrit l’intelligence pour qu’ils comprennent les Ecritures. – Vous voyez, leur dit-il, les Ecritures enseignent que le Messie doit souffrir, qu’il ressuscitera le troisième jour, et qu’on annoncera de sa part à tous les peuples, en commençant par Jérusalem, qu’ils doivent changer pour obtenir le pardon des péchés. Vous êtes les témoins de ces événements. Quant à moi, j’enverrai bientôt sur vous ce que mon Père vous a promis. Vous donc, restez ici dans cette ville, jusqu’à ce que vous soyez revêtus de la puissance d’en haut. '

Luc 24:36-49

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